L’affiche côté verso

L’affiche côté verso

Qui œuvre en coulisses une fois le fichier validé ? Quelles sont les étapes jusqu’à la livraison ? Cette petite vidéo vous dévoile (un peu) ce qu’il se passe entre l’envoi de votre fichier et la pose de votre affiche.

Une affiche qui claque, c’est + qu’un clic !

5 jours, parfois moins. C’est le temps nécessaire à l’impression et à la livraison de vos affiches.
Du format 40×60 à la 4×3, toute une équipe, parfois organisée en 3×8, compose la chaîne d’impression :

  • Commerciaux, deviseurs
  • Planning managers
  • Opérateurs prépresse
  • Opérateurs CTP
  • Conducteurs machine
  • Massicotiers façonniers
  • Assistants logistiques
  • Caristes
  • Livreurs 

Le fichier est vérifié une première fois dans nos bureaux, puis envoyé à l’imprimeur qui le vérifie une seconde fois à l’aide d’autres outils et nous renvoie un second BAT avec les formats dits « visibles » le cas échéant.

Pour les affiches, le fichier est agrandit jusqu’à sa taille réelle. Nous imprimons traditionnellement en offset pour les quantités importantes ou en numérique, selon les cas.

Le numérique tend à s’imposer peu à peu. Cependant, la qualité doit être au rendez-vous. C’est pourquoi nous croisons plusieurs critères avant de déterminer quel type d’impression nous proposerons :

  • La quantité
  • Le visuel : sa densité, ses couleurs et ses aplats
  • Le type d’affichage : colonnes lumineuses, non lumineuses, couloirs métro ou quais…
  • Le prix

Depuis toujours, l’agence Mermon choisit d’imprimer en France et ce malgré une pression toujours plus forte des tarifs de la concurrence internationale. Cela tient aussi à la qualité des relations que nous entretenons avec nos partenaires : leur disponibilité, leur réactivité, leur écoute et leur capacité à répondre aux demandes d’affichage de dernière minute.

De plus, les imprimeurs sont partie-prenante de ce qui est maintenant appelé la « valorisation » des déchets (en d’autres termes le recyclage) et sont labellisés « Imprim’vert ».

Tous ces éléments nous permettent d’être performants et qualitatifs sur l’impression.

LEXIQUE

BAT : Bon à Tirer. Exemplaire papier ou numérique autorisant l’agence à lancer l’impression.

CMJN : Mode colorimétrique utilisé en impression. Savant dosage entre les couleurs de base Cyan, Magenta, Jaune, Noir qui composent toutes les couleurs imprimables.

RVB : Mode colorimétrique écran. Ces couleurs ne sont (pour le moment) pas imprimables. Leur transcription en CMJN cause la plupart du temps des changements de tons.

Opérateur CTP : Personne qui gère la phase post traitement de fichier. L’agrandissement et la transcription du fichier en 4 « plaques » CMJN. CTP = Computer To Plate.

Offset : Procédé d’impression traditionnel où l’image, le texte à imprimer sont reportés sur des rouleaux spéciaux, puis sur le papier en utilisant des « plaques » en trames CMJN.

LES AFFICHES DE TOURNÉE

Nous imprimons et stockons vos affiches de tournée.

Vous pouvez gérer directement vos expéditions à l’aide d’une plateforme que nous avons créée pour vous :

  • Gestion d’un carnet d’adresses
  • Alertes et mails automatiques des états de livraison
  • Visibilité de vos visuels et de vos stocks.

N’hésitez pas à nous interroger pour toutes vos impressions

Comprendre l’ASTP en 15 minutes chrono

Comprendre l’ASTP en 15 minutes chrono

À la demande et en étroite collaboration avec l’Association pour le Soutien du Théâtre Privé (ASTP), fruit de plusieurs mois de travail et de réflexion, l’agence a réalisé une plaquette illustrée intitulée « Comprendre l’ASTP en 15’ chrono ».

Cet outil d’un genre ludique, peu habituel en terme de communication institutionnelle, permet de rendre facilement lisible l’essentiel des actions de l’association en terme de dispositifs d’aides et de financement du théâtre privé pour qui les connaît mal, voire pas du tout . Il aurait pu tout aussi bien s’appeler « ASTP’s Digest » ou de « L’ ASTP pour les nuls », mais le pompage eut été grossier.

Il est actuellement diffusé par l’association sous deux formules :

  • un cahier cartonné papier de 20 pages
  • un mini-site

www.lastp-en-15-minutes-chrono.fr

 

 

Merci à l’ASTP pour sa confiance et pour avoir laissé libre cours à notre imagination.

N’hésitez pas à nous interroger pour toutes vos créations

Théâtres et réseaux sociaux en 2017 : et si vous étiez accompagnés ?

Théâtres et réseaux sociaux en 2017 : et si vous étiez accompagnés ?

Le bouche à oreille 2.0 a pris de l’ampleur. Les entrepreneurs du spectacle vivant d’économie privée l’ont cerné. Ils n’ont pas encore tous les moyens d’alimenter leurs flux d’actualités. Cependant, ils prennent très au sérieux la relation blogueurs. Les avis des spectateurs ne sont plus seulement l’apanage des sites de billetterie discount et cela fait plaisir.

 

Si la relation entre réseaux sociaux et achat de billet reste à établir, avoir une présence en ligne construite et régulière est incontournable en 2017. Collecter et planifier des informations à poster doit faire partie des nouveaux réflexes. De même, veiller et répondre aux commentaires est primordial. La communication n’est plus à sens unique.

Accompagner les professionnels du spectacle, d’un point de vue stratégique ou pratique, est un de nos nouveaux rôles, en tant qu’agence de communication spécialisée.

 

L’agence est présente sur Twitter et Facebook depuis 2012. L’élément déclencheur fut la polémique suscitée par l’arrachage des affiches de Stéphane Guillon dans le métro. Nous faisions, dans le même temps, l’expérience de la communication de crise et la connaissance de toute une communauté déjà très active.

En 2014, un article sur un blog personnel présentait un premier état des lieux, destinés à encourager les théâtres à développer la relation blogueurs. En 2017, l’annuaire s’est largement étoffé. Les initiatives de passionnés se sont multipliées et la majorité des théâtres sont actifs sur les réseaux.

Les spectateurs-blogueurs : une communauté toujours passionnée, passionnante et réelle.

 

Les outils ont évolué. Hors spectacle, les marques font appel aux influenceurs du Web. La publicité est de plus en plus présente : articles sponsorisés, présence des grandes marques dans les flux d’actualités… Notre lecture en ligne ressemble à des publicités entrecoupées de films.

Le milieu théâtral est encore relativement épargné par cette commercialisation. Les blogueurs théâtres restent avant tout des passionnés. Rares sont ceux qui se sont professionnalisés en tant que Community Managers au service d’un ou de plusieurs lieux. En effet, la relation au public a besoin de rester proche, artisanale et à l’échelle humaine. Le virtuel amène toujours au réel et c’est ce qui reste passionnant.

Quelques exemples :

Aubalcon.fr, créé en 2013 par deux jeunes bretons, compte aujourd’hui environ 20 000 critiques sur 3 500 pièces et entre 4 000 et 6 000 visiteurs uniques par jour. Ils sont toujours fiers de leur indépendance et participent activement à la démocratisation et au rajeunissement du théâtre. Plus qu’un site de critiques, c’est un vrai réseau social puisque les spectateurs peuvent connaître les agendas de sortie des uns et des autres, s’écrire, se suivre (“s’espionner”), donc se donner rendez-vous pour se voir en vrai. Tout cela dans une ambiance bon enfant, garantie par des responsables éditoriaux.

Les GladParty, organisées par Gladscope, soirées conviviales entre blogueurs, spectateurs et professionnels ont continué leur tour de Paris : Le Théâtre Saint-Georges et le Théâtre des Champs-Elysées en 2014, le Théâtre du Palais-Royal en 2015, l’Odéon Théâtre de l’Europe et le Poche-Montparnasse en 2016. On attend avec impatience une édition 2017.

 

GladParty au Théâtre Saint-Georges : tirage au sort des gagnants du jeu organisé pour gagner des places de théâtre.

 

IO Gazette en 2015 faisait renaître le format papier au Festival d’Avignon avec distribution dans les rues. L’idée a germé sur Twitter. Aujourd’hui étendu à d’autres manifestations, comme le Festival d’Automne à Paris ou les Nuits de Fourvière à Lyon, ce journal gratuit de qualité a dépassé les 50 numéros. Autre particularité : s’y côtoient les articles de blogueurs indépendants et de journalistes.

2017 voit l’arrivée de @RadioMortimer. Annoncée peu de temps avant la première diffusion le lundi 10 avril, elle eut l’effet d’une jolie surprise de printemps sur les réseaux.

Des communautés existent également sur Facebook, qu’elles soient publiques ou fermées. Elles sont très nombreuses et plus souvent à l’initiatives des artistes. En effet, les professionnels du spectacles sont plus familiers de ce réseau. Ils l’exploitent surtout pour communiquer avec leurs amis du milieu, en sous estimant sans doute l’usage qu’ils pourraient en faire vers le grand public.

Côté théâtres : des pratiques à encourager.

 

La présence sur les réseaux des professionnels du spectacle vivant est encore très disparate. La majorité est active. Presque tous les théâtres privés possèdent une page Facebook. Moins nombreux un compte Twitter, seulement une poignée un compte Instagram qui, pourtant, est en pleine expansion. Il est cependant difficile de parler de véritable professionnalisation des réseaux sociaux avec les théâtres.

Certains se débrouillent extrêmement bien, en interne ou non, à chacun son organisation. Sans pouvoir les citer tous, voici 4 exemples très différents :

  • Les Théâtres parisiens associés : A ce jour, la communauté compte +28 000 abonnés sur Facebook, +10 900 followers sur Twitter et sur Instagram. L’Association pour le Soutien du Théâtre Privé, via sa marque “Théâtres Parisiens Associés”, a investi dans l’accompagnement des théâtres de son réseau sur le Web. Plusieurs Community manager publient, commentent ou organisent des Livetweets des spectacles. Ils fédèrent aussi la communauté des blogueurs qui sont régulièrement invités à des évènements dédiés : première d’une pièce, visite d’un théâtre, etc.

 

  • Le Théâtre des Champs-Elysées construit sa communication numérique depuis plusieurs années. Résultats : + de 20 000 abonnés à leur page Facebook et +23 000 sur Twitter, des visuels de qualité exportées sur les réseaux en complément d’un site Internet très fournis. Une réflexion constante sur la place du numérique au théâtre.

 

  • Le Théâtre du Palais-Royal : + de 10 000 abonnés sur Facebook et + 5 000 followers sur Twitter publie en fonction de l’actualité et des opportunités. Pionniers dans la relation blogueur dans le milieu, ils ont fait grandir leur communauté par la mise en place coordonnée de jeux Facebook, de newsletters, d’opérations de promotion et de récolte d’avis.

 

  • Le Théâtre des Mathurins a ouvert sa page Facebook et son compte Twitter en janvier dernier : déjà + 7000 abonnés sur Facebook et plusieurs jeux concours pour faire gagner des places, le tout coordonnée par une personne extérieure indépendante sur quelques heures par semaine.
Twitter - Théâtres parisiens associés
Twitter - Théâtre des Champs-Elysées
Facebook - Théâtres parisiens associés
Facebook Théâtre des Mathurins

Les freins les plus fréquents :

  • Le budget 1/2 : investir pourquoi pas mais si j’ai une garantie que cela ramène du public. Or, cette garantie est impossible à… garantir.
  • La peur 1/2 : laisser une personne tierce parler de mon théâtre / spectacle / artiste pourquoi pas. Mais comment je le contrôle ?
  • Le budget 2/2 : créer du contenu coûte un peu d’argent…
  • La peur 2/2 : Je ne veux pas prendre le risque qu’on parle mal de mon spectacle.
  • Le temps : Trouver des idées, fournir le contenu, écrire, répondre, évaluer, entretenir la relation en demande.
  • Le contenu : Quel contenu produire si je n’ai qu’un seul spectacle ou deux ?
Le budget, un argument : vrai ou faux ?
Les résultats sur le Web sont plus mesurables que l’affichage. Ils sont analysables en temps réel. Cela permet de modifier à tout moment une stratégie ou un contenu. Le Community Manager, dont l’action s’inscrit dans la durée, est un complément parfait à l’affichage traditionnel, pour un budget bien moindre.

En conclusion

Twitter, Facebook, Instagram… Pour ne citer que les plus importants. Comment s’y retrouver ? Par lequel commencer ? Comment calculer le meilleur investissement et trouver la personne la plus en adéquation avec mon lieu ? Comment trouver du contenu et comment le fabriquer ? Autant de questions auxquelles notre expérience peut répondre, tout en le coordonnant avec vos autres moyens de communication.

 

 

N’hésitez pas à demander un rendez-vous pour en parler !

Nouveau site pour le Théâtre de la Renaissance

Site théâtre des Mathurins

Retravailler l’ergonomie tout en gardant l’esprit du site précédent

 

Accès direct à la programmation du théâtre et aux interfaces de réservation pour capter le flux des acheteurs potentiels dès la home page, images plus grandes et navigation repensée pour les tablettes et mobiles tout en gardant l’identité du site existant, telles étaient les conditions de cette refonte. Ajoutée à cela, la programmation dans Google Tag Manager du suivi des clics sur les boutons de réservation, afin de donner au théâtre le maximum d’outils d’analyse pour optimiser les visites.

 

www.julietteazzopardi.com : la scénographie en images

Site théâtre des Mathurins

Refonte du site de la scénographe Juliette Azzopardi

En 8 ans, Juliette Azzopardi a réalisé les décors d’une quarantaine de pièces dont Edmond et de Intra Muros, les deux dernières créations d’Alexis Michalik.
2 fois nommée aux Molières pour La Dame Blanche et Edmond, dernièrement, elle vient de créer les formidables décors de la pièce Oh my god! au Théâtre Tristan Bernard.

 

Nouveau site pour le Théâtre des Mathurins

Nouveau site pour le Théâtre des Mathurins

Site théâtre des Mathurins

Le site du Théâtre des Mathurins s’est refait une santé

 

En 1897, l’architecte Salvan transforme un salon de 300 places, jusqu’alors dédié principalement à des concerts, en théâtre avec scènes et vraies loges pour les artistes.
120 ans plus tard, ce théâtre reconnu du 8e arrondissement possède deux salles de 84 et 400 places. L’évolution continue aussi sur le net grâce à un nouveau site au design adapté au XXIe siècle 😉